Mine de Diavik – Établir et mettre en œuvre des accords de participation efficaces

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La mine de diamants de Diavik est située dans les Territoires du Nord-Ouest du Canada. Lorsque les opérations ont débuté en 1999, Rio Tinto a signé une série d’accords de participation avec les cinq groupes autochtones. Ces accords ont officialisé le partenariat entre les peuples autochtones et inuits de la région et Rio Tinto concernant l’exploitation de la mine de diamants de Diavik.

Les accords ont fourni le cadre pour que Rio Tinto et les signataires autochtones et inuits travaillent ensemble afin de maximiser les avantages du projet pour les communautés grâce à l’emploi, à la formation et au renforcement des capacités commerciales locales. Les accords prévoient également des bourses et un soutien pour toute une série de projets communautaires.

Pour aider à augmenter le nombre d’employés qualifiés autochtones et locaux, Diavik s’est engagé à proposer 100 programmes de formation tout au long de la durée de vie de sa mine. Diavik a également mis au point un programme de développement du leadership autochtone, qui est maintenant proposé par l’université locale, ce qui permet à toutes les entreprises du Nord d’avoir accès à la programmation.

Diavik s’est engagé à soutenir les entreprises locales et à développer les capacités commerciales locales et autochtones. Pour cela, Diavik s’est engagé à ce que, pendant la construction de la mine, 38 % des dépenses en immobilisations soient effectuées par des entreprises locales ou du Nord. Sur les 1,2 milliard de dollars de contrats de construction attribués au cours de la construction entre 2000 et 2002, la valeur des contrats locaux/du nord s’élevait à 874 millions de dollars, soit 74 %. Cela représentait presque le double de l’objectif. Les dépenses des autochtones du nord pendant la construction se sont élevées à 604 millions de dollars, soit 51 %. Au cours de l’exploitation, Diavik s’est engagé à fournir 70 % de ses activités à des entreprises locales/du nord.

Un comité consultatif de surveillance de l’environnement, composé de représentants des cinq communautés autochtones, ainsi que de représentants du gouvernement et de l’industrie, supervise l’impact environnemental de la mine.

Lorsque les dépenses de construction et d’exploitation sont combinées (de 2000 à 2014), les dépenses totales s’élèvent à 6,2 milliards de dollars, dont 4,5 milliards (72 %) sont locaux et issus du Nord. Sur les 4,5 milliards de dollars,
2,4 milliards de dollars (38 %) ont été dépensés auprès d’entreprises autochtones. Voir www.riotinto.com/documents/Diavik_SEMA_report_0714.pdf
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