La mine de Sullivan à Kimberley, au Canada, a été exploitée pendant près de 100 ans ; le nombre maximal d‘employés pouvait atteindre les 3 500 personnes, soit plus de la moitié de la population de Kimberley.
La cité de Kimberley est désormais une destination de tourisme et de loisirs, et des terres appartenant à Teck ont été cédées à la cité pour agrandir la station de ski et les centres de loisirs de la région. En outre, grâce à un partenariat collaboratif, une centrale photovoltaïque communautaire a été construite, et l’exploitation de celle-ci a débuté en 2015 sur une zone réhabilitée du site de Sullivan.
Teck s’est concentré sur l’inclusion de la communauté locale et des peuples autochtones à la planification de l’utilisation des terres après la fermeture de la mine. À la mine de Sullivan, Teck s’est engagée auprès des communautés dès la fin des années 1960 pour la co-création de stratégies visant à réduire l’impact économique de la fermeture imminente. Cela incluait la planification de la transition de carrière et les opportunités de formation pour les employés, la formation d’un comité de parties prenantes chargé de garantir une participation communautaire à la planification de la fermeture et à la transition de l’économie minière vers une économie fondée sur le tourisme. La réhabilitation post-fermeture de la mine comprenait la reforestation, la collecte des eaux et l’amélioration des systèmes de traitement des eaux.